Les pensées viennent et s’en vont de manière aléatoire et parfois, comme avalées par le paysage, toute pensée s’efface. On cesse alors de parler, de peur qu’un seul mot puisse faire un trou dans le paysage, un trou qui s’agrandirait peu à peu pour nous avaler par la suite.
Cela paraît presque impensable de dire « je suis » dans les Highlands – quelle idée !